10 mai 2022
C’est officiel : la police et la gendarmerie pourront ficher les opinions politiques, les convictions philosophiques et religieuses, les appartenances syndicales et les données de santé.
Voilà ce que vient de confirmer le Conseil d’État, saisi en référé, rejetant les requêtes de différents syndicats qui dénonçaient les décrets publiés en décembre – ces mêmes syndicats appelant à voter Macron, un appel entendu par les Français qui ont reconduit sans broncher le tyranneau qui leur enlève une à une leurs libertés…
Ainsi, la haute juridiction administrative déjà complice des délires de la Macronie covidiste, considère que ces nouvelles mesures, qui font pourtant froid dans le dos, ne portent pas atteinte à la liberté d’opinion, de conscience, de religion ou d’association.
J’entends bouger Orwell, il se retourne dans sa tombe.
« Le poisson pourrit toujours par la tête », dit un proverbe chinois. « Oui, mais il y a toujours des millions de mouches qui s’en régalent », dit un proverbe français. 10 mai 2022
C’est officiel : la police et la gendarmerie pourront ficher les opinions politiques, les convictions philosophiques et religieuses, les appartenances syndicales et les données de santé.
Voilà ce que vient de confirmer le Conseil d’État, saisi en référé, rejetant les requêtes de différents syndicats qui dénonçaient les décrets publiés en décembre – ces mêmes syndicats appelant à voter Macron, un appel entendu par les Français qui ont reconduit sans broncher le tyranneau qui leur enlève une à une leurs libertés…
Ainsi, la haute juridiction administrative déjà complice des délires de la Macronie covidiste, considère que ces nouvelles mesures, qui font pourtant froid dans le dos, ne portent pas atteinte à la liberté d’opinion, de conscience, de religion ou d’association.
J’entends bouger Orwell, il se retourne dans sa tombe.
« Le poisson pourrit toujours par la tête », dit un proverbe chinois. « Oui, mais il y a toujours des millions de mouches qui s’en régalent », dit un proverbe français.